La Cité des Dames
Assandra . Caccini . Strozzi

Lucile Richardot, alto
Josèphe Cottet, violon
Samuel Hengebaert, violoncello da spalla
Brice Sailly, clavecin et orgue

Encore au XXIè siècle, le statut de compositrice n’est pas encore une évidence. Pourtant, c’est dans l’Italie du XVIIè siècle que la liberté créatrice féminine et particulièrement en matière musicale semble avoir été favorable. L’une des raisons vient probablement du fait que c’est là, dans les milieux humanistes de la république de Venise, des cours de Florence, du Duché de Milan, ou à Ferrare que l’art évolue d’une manière extraordinaire : invention de la monodie, de l’opéra, de la basse continue. Les compositrices sont issues pour la plupart, de l’aristocratie certaines se vouant à dieu, les autres demeurant dans le monde. Quoi qu’il en soit, ces musiciennes trouvent le moyen non seulement de composer, d’être reconnues par leurs pairs, mais aussi de publier leur oeuvre.

 
  • Francesca Caccini
    Sinfonia instrumentale
    La liberazione di Ruggiero dall’isola d’Alcina

    Francesca Caccini
    Récit de Melissa et choeur
    La liberazione di Ruggiero dall’isola d’Alcina

    Eleonora Orsini
    Per pianto la mia carne

    Dario Castello
    Sonate a violino e cembalo N1

    Francesca Caccini
    O Chiomo belle

    Caterina Assandra
    O Quiam Suavis

    Francesca Caccini
    Lasciatemi qui solo

    Dario Castello
    Sonate a violino e cembalo N2

    Francesca Caccini
    Ch’amor sia nudo

    Francesca Caccini
    O che nuovo stupor

    Vittoria Aleotti
    Hor che la vaga aurora

    Francesca Caccini
    Dispiegaten guanze amate

    Caterina Assandra
    O Salutaris hostia

  • Diapason : la=415hz
    Tempérament : mésotonique 1/4
    Instruments : clavecin type italien 2x8’ I orgue positif min. principal 8’
    Pupitres : 3 + pupitres claviers
    Chaises : 3 + tabourets clavier (prévoir une chaise haute type contrebasse)